• Modification Pétition 3

    Voici les derniers changements ou rajouts à la pétition qui sera déposée demain à la Mairie et adressée à Mme le Commissaire Enquêteur:

     

    La spécificité de cette zone sera  remise en question en termes d’environnement et  de biodiversité (par l’absence d’ensoleillement et diminution de la lumière)  des jardins privatifs. Mais on peut aussi imaginer (au vu de l’étroitesse de la voie sur la contre-allée montante de  l’Avenue de Paris qui est en sens unique) que pour des questions de sécurité, pollution ou embouteillages (cars de tourisme en attente du chargement ou déchargement des résidents de l’hôtel car l’espace n’est pas prévu pour leur stationnement, on peut constater pour Park&Suites au Métro Léo Lagrange que jusqu’à 3 cars stationnent devant l’hôtel ; camions de livraison pour l’hôtel), la RATP déplace l’arrêt du Bus 185 (actuellement au 62 avenue de Paris), privant les  résidents du quartier et les scolaires (collégiens à Pasteur allant au Collège et retournant vers le Centre ville, lycéens inscrits dans l’établissement A. Chérioux à Vitry s/Seine)  d’un moyen de transport de proximité et d’accès facile. S’ajouteront à cela des nuisances sonores, olfactives, un rétrécissement du passage piéton rue Reulos dû, entre autres, à un encombrement régulier des conteners destinés aux déchets ménagers, la disparition de places de stationnement pour les résidents de l’Avenue de Paris et des rues Reulos, Ambroise Croizat et des rues avoisinantes déjà saturées nuit et jour, sept jours sur sept.

    Des problèmes d’assainissement à tout le quartier proviennent d’une non-conformité des réseaux municipaux (trop petits, non-séparatifs). Pour exemple, les orages du mois d’Août 2013 ont provoqué des inondations à tous les rez-de-chaussée de la Résidence Les Jardins Cassini au 13/15 rue A. Croizat (livrée en Janvier 2013 !). Les « réservoirs naturels »  crées par des espaces vacants n’existeront plus après cette construction. Ces phénomènes seront alors  amplifiés et multipliés.

    Nous terminerons par deux interrogations. Un monument historique de valeur, la Mire de Cassini datant de 1742 et située 157 bis avenue de Paris, étend son périmètre de protection jusqu’à la rue A. Croizat. Nous nous interrogeons donc sur la possibilité de telles hauteurs, les parcelles des futures constructions étant comprises dans la zone protégée. De même, il est notoire (voir la carte dans le diagnostique du PLU) qu’une partie des  parcelles sont en limite de niveau moyen d’aléa des risques de Mouvements différentiels consécutifs à la sécheresse et à la réhydratation des sols. Que se passera-t-il dans l’avenir, puisqu’il est prévu que les températures augmentent de façon sensible ?


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